Vous êtes ici : Hacked By Awad Sahar > Science sauve qui peut > La menace insidieuse des OPP
La menace insidieuse des OPP

Les ondes électromagnétiques produites pas les nouvelles technologies sont de plus en plus mises en cause pour des effets supposés néfastes sur la santé. La fable de La Fontaine où "Un agneau se désaltérait dans le courant d’une onde pure" serait impossible aujourd’hui car ce qui domine dans l’environnement de chacun, ce sont des OPP ou ondes pas pures du tout.

Mais il vaut mieux avertir le lecteur, ce qui suit est parfois difficile à suivre car le sujet est complexe, les intérêts puissants, les personnes concernées nombreuses, les impacts lourds de conséquences et les passions pour ou contre importantes. Le titre donne déjà une idée du contenu à venir : Les technologies en cause peuvent avoir des effets si graves sur la santé humaine et la vie des personnes qu’on ne peut taire une menace possible déjà en action.

Les politiciens disent que tout va bien !

L’absence de consensus scientifique qui a guidé les politiciens et accompagné les malades de l’amiante pendant des décennies, n’apparaît aujourd’hui que comme une non-assistance à personne en danger que la science a ignorée au mépris du principe de précaution et au nom de sa suprême toute puissance qui a laissé libre cours aux industriels.
La demande habituelle de preuve absolue exigée par ces derniers pour démontrer l’effet dommageable de leurs produits non testés, n’a été, n’est toujours, qu’un sinistre stratagème pour détourner leur responsabilité, tout en finançant des recherches prouvant évidemment l’innocuité de leurs produits. La science sous tutelle a ainsi retardé la découverte d’éventuels effets sanitaires néfastes qui auraient nui aux bénéfices.
Les nuisances électromagnétiques des antennes-relais de téléphonie mobile, des répéteurs hertziens, des lignes haute tension et des appareils électromagnétiques semblent suivre le même chemin.
Les riverains ou bénéficiaires de ces outils pratiques modernes, traités d’obscurantistes, doivent-ils payer de leur santé les manœuvres industrielles et gouvernementales qui émettent des avis autorisés sur des sujets controversés toujours en attente d’études d’impact sur le vivant ?
Il serait pourtant simple de prendre au mot les directeurs et responsables d’entreprises productrices en les plaçant avec leur famille pendant un certain temps entre deux portables ou antennes-relais ou sous une ligne à très haute tension pour tester les dits effets ! Vendre 2 milliards d’appareils micro-ondes sans se préoccuper de la pollution de leurs émissions donne une idée de l’appétit financier des fabricants et de l’inconscience des vendeurs.
Bien sûr, on recommande aux personnes ayant un pacemaker cardiaque ou une pompe à insuline de faire attention, alors que les stérilets, les prothèses, les implants dentaires ou cérébraux, les personnes sensibles, etc., peuvent être aussi concernés. On vend même de nombreux gadgets de protection, pour annuler l’effet néfaste d’appareils qui sont dits inoffensifs !

Faire des ronds dans l’eau

Qui n’a pas lancé un jour un caillou dans une flaque ou un lac et constaté l’onde ou la vaguelette qui ride la surface jusqu’à son bord ? Plus le caillou est gros, plus l’onde est rapide et intense. Un galet plat qui ricoche sur l’eau crée plusieurs ondes à chaque choc et ses ondes vont se heurter et s’annuler.
Les ondes électromagnétiques émises dans l’air y ressemblent beaucoup mais tiennent plutôt du tsunami que de la vaguelette. Elles ont en plus des trajectoires variables : circulaire (onde hertzienne), verticale (TNT), horizontale (champ électromagnétique terrestre et technologies actuelles).
Ces trajectoires les polarisent différemment, c’est-à-dire les font entrer dans l’air, l’eau ou un corps, suivant un certain angle et avec une régularité, une cadence et cohérence permanente, qui constituent la source de perturbation des cellules vivantes fonctionnant autrement. Leurs effets jouent donc diversement sur l’environnement lui aussi polarisé, mais peuvent être annulés avec des ondes incohérentes ou déphasées à 180° comme le deuxième choc de galet.
L’onde pure est naturelle pour la pierre lancée dans l’eau, pour la Terre qui tourne, pour le cœur qui se dilate, pour le poumon qui respire. L’onde artificielle n’a pas les mêmes avantages.

Basse et haute fréquence

Le nombre de fois où l’onde provoque un mouvement dans un temps donné détermine sa fréquence. Ex. : Un cœur qui se contracte une fois par seconde produit une onde rythmique naturelle de basse fréquence de 1 Hertz (unité). Processus révélant un échange permanent et un courant électrique continu due à l’activité des cellules ou muscles (inspiration et expiration du poumon) qui anime tous les organes d’un corps vivant. Le système nerveux le véhicule et, comme un aimant, ce courant va créer autour de lui en se déplaçant un champ électrique (d’où électrocardiogramme possible) et un champ magnétique, sources d’ondes électromagnétiques naturelles appelées delta (de basses fréquence 0,5 à 4 Hz), thêta (4 à 8 Hz), alpha (8 à 12 Hz), bêta (13 à 30 Hz), gamma (30 à 45 Hz).
Si, au lieu de une fois par seconde, un phénomène se produit une fois toutes les 10 secondes, il produit une onde de 0,1 Hz. Ou une fois toutes les 100 secondes produit une onde de 0,01 Hz, et une fois par milliardième de seconde produit une onde de 0,000 000 001 Hz.
Le courant électrique domestique alternatif de 220 volts utilisé couramment produit une onde de basse fréquence de 50 Hz. Les rayons X, gamma ou cosmiques, produits de la désintégration radioactive de la matière sont des ondes de haute fréquence allant de 10 millions à 10 000 milliards de Giga Hz. L’énergie des OPP dépend de leur fréquence et peut être bénéfique ou nocive comme le montre les rayons infrarouges ou ultra-violets.

En plus de sa fréquence, une onde électromagnétique a aussi une longueur

Chaque fréquence d’onde a une longueur d’onde inversement proportionnelle à sa puissance. Ex. : Une fréquence de 1 Hz a une longueur de 300 000 km (vitesse de la lumière), 2 Hz = 150 000 km, 50 Hz = 6 000 km, 300 Hz = 1 000 km, 300 KHz = 1 km, 300 MHz = 1 m, 900 Mhz = 33,33 cm, 2.4 GHz = 12,50 cm, 30 GHz = 1 cm, 300 GHz = 1 mm.
Lorsque des ondes artificielles produites par des appareils de téléphonie mobile, radars, fours micro-ondes, téléphone sans fil, radio et télévision, engendrent des champs électromagnétiques artificiels, et malgré les discours essayant de prouver le contraire, ils sont capables de perturber l’activité biologique de l’organisme humain dans tous les cas où celui-ci est en résonance avec l’onde émise.

Plus la fréquence est haute, plus l’onde est courte, plus elle fait mal

Chaque partie ou organe du corps absorbe d’autant plus l’onde émise que sa propre structure à une longueur d’onde similaire. Par exemple, les ondes de téléphonie mobile de 900 MHz à 2 100 MHz ont une longueur d’onde de 33 à 14 cm qui correspondent à de nombreuses parties ou organes du corps humain (celui du rat a une fréquence de résonance de 700 MHz et donc une longueur d’onde de 42,9 cm). Une longueur d’onde de quelques centimètres ou millimètres va toucher d’innombrables organes ou cellules du corps et modifier leur comportement ! Or, si l’absorption de l’énergie des ondes varie avec les personnes, ce sont les plus sensibles ou fatiguées et celles de petites tailles qui en "bénéficient" davantage, d’où l’éloignement conseillé des installations antennes-relais par rapport aux écoles, nouvelle preuve que ces ondes sont potentiellement offensives !

Une jeunesse "portablée" est une jeunesse mal barrée

Les effets de ces champs artificiels peuvent empêcher les cellules de fonctionner normalement dans la synthèse d’enzymes, altérer les membranes cellulaires ou l’ADN. Dans le cas des ondes pulsées de la téléphonie mobile, qui génèrent aussi des ondes de basses fréquences (2 Hz, 8 Hz et 217 Hz) et dont les hautes vibrent surtout de 900 millions (GSM) à 5,8 milliards de fois par seconde (DECT), il s’agit de véritables automitrailleuses qui viennent interférer avec les ondes du cerveau et du corps.
Le nouveau système UMTS avec la TV sur son téléphone fonctionne avec une fréquence de 2,1 GHz et vibre 2,1 milliards de fois par seconde, presque comme un four micro-ondes (2,45 GHz) ! La folie à portée de la main…
On peut toujours chercher pourquoi un chien habituellement normal devient subitement agressif et sauvage, pourquoi les chats et souris fuient la maison, pourquoi les ménages sont tant irrités et pourquoi la violence se développe chez la jeunesse "portablée"… Après l’amiante, l’alcool, le tabac et les pesticides, les ondes prennent leur place dans les maux nouveaux de la civilisation…
Des ondes à signaux d’intensité variable, inondant continuellement les cellules de l’organisme humain ou des règnes animaux et végétaux, induisent des erreurs néfastes dans leur fonctionnement harmonieux. Il y a certes la pastille ou l’antenne personnelle et familiale pour se défendre d’OPP dites amicales, mais c’est toute la communauté (non protégée) qui est touchée par des installations démesurées !
Si un radar de 1 à 10 GHz peut chauffer des aliments mis dans son faisceau (principe du four micro-ondes utilisé par les soldats), que devient un cerveau humain ou animal placé dans les mêmes conditions ?
Dans le cadre du programme militaire Haarp américain, la station de Gakona en Alaska a quadruplé en 2006 l’intensité des champs magnétiques émis et constaté en fin d’année un effondrement de 25 % des colonies d’abeilles dans la région… Va-t-on mettre une pastille à chaque abeille pour la protéger ? Et pour les hommes ?
Les sonars et radars de sous-marins ou navires militaires font échouer baleines et requins sur les plages…
Le DAS ou Débit d’absorption spécifique conseillé pour les portables, indique l’échauffement du corps sous l’effet micro-ondes de l’appareil téléphonique allumé, mais ne dit rien sur l’effet biologique de celui-ci, le plus méconnu et le plus insidieux…
Et, le temps passant, le lien entre symptôme et exposition est oublié, sauf dans les statistiques des graves maladies et des violences inexplicables !

Des normes pourquoi, pour qui !

L’intensité du champ électrique est mesurée en Volt par mètre, celle d’un champ magnétique en Gauss, en Ampère par mètre ou encore en Tesla (nom donné à une onde longitudinale parallèle à l’onde hertzienne, que la nature et les corps produisent pour communiquer entre les cellules). La densité de puissance du champ électromagnétique correspond au produit du champ électrique par le champ magnétique exprimé en Vatt par m2 (Watt m2 = Volt/m x Ampère/m).
Mais, si les émissions de micro-ondes naturelles sont de l’ordre de 0,01 microwatt par m2, les micro-ondes artificielles sont 2 millions de fois plus élevées et permanentes…
Et les normes françaises d’exposition maximum sont si élevées voir l’article "Barbentane est un village rayonnant" qu’elles apparaissent caricaturales au regard des problèmes soulevés par les utilisateurs ou riverains.
Quand une personne provoque un trouble dans le voisinage, police et justice interviennent pour le faire cesser. Quand un opérateur fait la même chose, il se réfugie derrière des normes pour justifier qu’il respecte la loi et donc les gens…
Si l’influence des champs électromagnétiques extérieurs est de courte durée et de faible intensité, la cellule du corps est capable de réparer les erreurs. Si l’exposition est trop longue, le processus interne de réparation s’épuise et des dysfonctionnements apparaissent. Deux heures par jour d’exposition aux champs haute fréquence du téléphone sans fil ou d’un simple babyphone, peuvent entraîner des dommages dans l’ADN, et les antennes-relais, les téléphones sans fil, les appareils wifi, les répéteurs hertziens émettent 24 h sur 24 h…

Écologie ou affairisme vert !

Les combinés téléphoniques sans fil, les différentes ’box’ d’accès à Internet, l’iphone ou smartphone, réglés en mode Wifi, sont aussi autant de sources de rayonnements OPP et l’ensemble des nouvelles technologies sans fil du type Téléphone Mobile, Groupe TTM, c’est-à-dire GMS, UMTS (ou 3G), WIFI, WIMAX, DECT, BLUETOOTH, comportent dans leur état technique actuel des impacts non connus sur l’ensemble du vivant. Le téléphone sans fil (DECT) utilisé à l’intérieur de l’appartement a une portée de 50 à 300 m et une double émission.
Cette technologie électromagnétique est dite propre, recyclable et non polluante donc écologique, alors qu’elle constitue une nuisance insidieuse, invisible, incolore et inodore en plein développement aveugle…

Inoffensives, on vous dit !

Les principales agressions physiologiques primaires relevées touchent la barrière sang-cerveau, la production de mélatonine, les régulations membranaires, pouvant provoquer des dommages génétiques et d’autres effets au :
- Premier niveau : irritabilité – troubles du sommeil – nausées – vertiges – pertes de concentration – problèmes cardiaques – problèmes de peau – eczéma – maux de tête – attaques des yeux et des oreilles…
- Second niveau : cancers – maladies auto-immunes – épilepsie – interruptions de grossesse et malformations – stérilité.
Les irradiations semblent particulièrement nocives pour les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées, les malades immunodéprimés, les personnes hypersensibles aux rayonnements. Ne parlons pas des animaux…
« Que Choisir » d’avril 2009 indique que les extrêmes basses fréquences de la téléphonie mobile correspondent à celle du métabolisme et une exposition prolongée casse l’ADN des cellules d’où cancer, leucémie, Alzheimer…
On comprend mieux pourquoi depuis 2002, les compagnies d’assurance excluent de leur police responsabilité civile les dépenses pour dommages liés aux champs électromagnétiques…
Même l’Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail sur les radiofréquences (AFFSET) affirme que l’exposition des gendarmes aux radars de plus de 2 000 MHz, rend possible le risque de lymphomes et leucémies. Un aveu grave et terrible pour les pandores, mais aussi pour les voisins ou utilisateurs d’autres merveilleuses technologies similaires. Car l’AFFSET oubli de dire qu’il n’y a pas que les forces de l’ordre exposées à de redoutables matériels et prétend dans le même temps que les normes actuelles de précaution du public ne sont pas complètement dépassées alors qu’elles sont dangereuses pour les gendarmes !

Tout baigne !

Quelques exemples pris au hasard pour évoquer la qualité du bain radiatif ambiant quotidien.

1) Fréquence de 23 à 956 MHz : Il y a d’abord les appareils d’une certaine puissance inattendue bien que réduite et partagée par tout ce qui vit autour :
Le repousse chiens et chats qui envoie jusqu’à 9 m des ultrasons pendant 25 secondes et émet 23 MHz en direct sur le cerveau du chat ou chien… Comment s’étonner que le gibier s’enfuie des lieux chargés d’installations OPP !
Les jouets électriques tel que le Monster ou Driftcar 4x4 émettent de 27 MHz à 40 MHz pour cabrioler après Noël…
L’émetteur/récepteur genre talkie-walkie émet de 433 MHz à 446 MHz pour communiquer à distance…
Le pluviomètre sans fil ou la station météo transmet à 100 m en émettant de 433 MHz à 868 MHz pour connaître température et humidité extérieures…
Le bracelet électronique porté par le nouveau-né, tout comme l’appareil de télé-assistance mis en collier aux personnes âgées, émettent de 862 MHz à 869 MHz, comme le lien mis à la cheville des prisonniers en liberté…
Les écouteurs, scanners et autres stations de table dont les DJ de boum raffolent émettent de 520 KHz à 956 MHz pour le plus grand profit de tous les danseurs de "boîte", un peu trop rayonnants à la sortie…
➢ Même la lampe dite éco fluocompacte envoie à l’allumage 300 V/m alors que la puissance de 10 V/m est estimée polluante ! Pour briller, elle contient en plus un peu de mercure…
Bien sûr, il faut éviter d’avoir tout ces appareils en même temps, sans quoi on frise le cumul de risques…

2) Des environs de 2000 MHz et plus : Il y a enfin des environnements à plus gros problèmes et pas seulement pour la brigade car, qui n’a pas autour de lui de magnifiques outils rayonnant souvent à plus de 2000 Mhz dont la dangerosité est ignorée ?
Le téléphone mobile ou sans fil DECT a un double impact magnétique (chacun des deux appareils est émetteur/récepteur) sur les personnes qui téléphonent ou non par les ondes émises à 1 900 MHz et 24 h sur 24 h.
Le portable émet lui à 2 000 MHz et les problèmes posés par ce merveilleux outil sont maintenant connus, mais on sait moins qu’il a aussi une fonction de mouchard car, allumé ou éteint, il peut devenir un micro à l’insu du propriétaire par simple installation d’un logiciel malveillant ou par manipulation (sur décision de justice) dans le service de l’opérateur qui le transforme en écouteur à distance…
➢ Difficile à croire mais le baby-phone pour bébé qui permet d’entendre même celui des voisins à 100 m émet de 865 MHz à 2 400 MHz, plus fort que le radar des gendarmes…
En aéromodélisme aussi, la passion miniature n’empêche pas l’hélicoptère birotor d’émettre à 2 400 MHz pour virevolter dans les airs, sous le regard affolé des oiseaux…
L’antenne d’un poste wi-fi a le regret de ne pas signaler qu’il est obligé d’émettre à 2 400 MHz mais qu’il ne faut surtout pas le répéter, et le CPL (courant porteur en ligne) proposé pour remplacer le wi-fi, génère un signal haute fréquence (pas de norme maximum fixée à ce jour !) qui peut faire rayonner 24 h sur 24 h toute l’installation électrique de la maison, voire de l’immeuble, jusqu’à 300 mètres…
➢ Le maire de Barbentane prétend améliorer la sécurité des habitants en installant des caméras de vidéo surveillance sur les places. Pas de pitié pour les délinquants, pas plus d’ailleurs pour les passants ou les voisins ou les personnels surveillants qui "bénéficient" pour la même occasion des 2 400 MHz d’émissions, plus fort que le fameux radar…
Le four micro-ondes vient juste après en émettant à 2 450 MHz avec l’inconvénient d’une irradiation accidentelle, mais avec l’avantage de ne poser aucun problème de digestion puisque le mets soumis à réchauffement voit ses cellules se déstructurer en moins de trois minutes pour offrir une mixture sans vie, vite digérée et expulsée.
➢ Quand au GPS double fréquences qui permet de naviguer sans carte les yeux fermés en toute sécurité sur tout le territoire, il bat tous les records d’émissions avec 2 803 MHz dans le rétro…

Douche électromagnétique gratuite et généralisée sans limites !

Ces merveilleux objets viennent ajouter leurs OPP au bain général des ondes des antennes-relais, lignes THT et autres répéteurs hertziens, ce qui permet de comprendre pourquoi certains villages ou quartiers rayonnent plus que d’autres !
Pour ne rien oublier, à Barbentane comme ailleurs, il y a aussi la wi-fi des Neufbox4 de SFR, des airports d’Apple et des hotspots de Neufwifi qui constituent un réseau sans fil et deviennent des bornes antennes de connexion Internet. Il y a environ 30 000 bornes opérationnelles en France ayant un rayon d’action de 100 m. En 2009, on en compte 60 à Barbentane situées dans les rues et quartiers où les internautes allument leur ordinateur.
Or, non seulement l’internaute peut en subir les effets (il est abandonné dans de nombreux services : musées, administration…), mais même les personnes qui ne disposent pas de ces appareils sont généralement concernées par l’intermédiaire de l’équipement de leurs voisins, car une box ou un ordinateur en mode wi-fi ont un rayon large d’action (entre 10 et 100 m, y compris en foyer, hôtel, train…).
Le pire concerne les appareils connectés en permanence à un émetteur (GPS, portable…) car la connexion est permanente et réactivée à chaque déplacement de l’appareil. Ainsi, le fait de téléphoner avec un portable en marchant, en vélo, en voiture ou en train, l’oblige à rechercher l’antenne pour poursuivre la communication. Chaque liaison est une douche électromagnétique qui bénéficie aussi à la famille et aux voisins !
Autrement dit, l’immense majorité d’entre nous « baigne » littéralement dans un brouillard électromagnétique ou faisceau de rayonnements plus ou moins denses, ceci sans aucun recul sur leur impact sanitaire isolé ou cumulé… Parce qu’on a « oublié » de les mesurer !

La charrue avant les boeufs

Pendant ce temps de durée variable au cours duquel les usagers servent de cobayes ignorants, il est possible d’espérer que soient mises en place des protections techniques diverses et adaptées, car elles existent. Exemple l’IRM qui produit d’énormes ondes électromagnétiques est outillé pour les rendre inoffensives sur le patient (technique du déphasage).
Mais les opérateurs et producteurs ont mis la charrue avant les boeufs, le profit d’abord…
Les émetteurs ont des puissances excessives même si elles sont respectueuses de normes très contestées. Elles produisent aussi des courants induits, des champs parallèles, des ondes variables dont les effets sont mal connus et peuvent s’ajouter à ceux des champs électromagnétiques…
Et si un soir vous vous égarez et ne retrouvez plus votre chemin pour rentrer à la maison, rassurez-vous en sachant que vous êtes devenus, à l’image des abeilles, de véritables sentinelles environnementales témoignant comme elles, à vos dépens, d’une trop grande pollution…

Précautions, protections

Alors que le thème de la sécurité est tous les jours dans les médias et goulument utilisé par les politiciens, le gouvernement demande que le territoire soit couvert d’installations de radio-téléphonie au nom de l’égalité d’accès à la modernité !
Et comme l’Etat ne veut pas développer un service public de télécommunications, il est devenu l’instrument de défense d’intérêts privés qui ont d’autres soucis que la santé des citoyens !
Lesquels doivent vivre en permanence avec des matériels dont les effets paraissent dangereux pour la santé ! Plus personne n’est donc à l’abri d’un éventuel effet délétère puisque partout sont construits des installations à micro-ondes ou vendus des appareils personnels émetteurs. Quand ce n’est pas de l’intérieur de la maison, c’est de l’extérieur que vient la menace des OPP…
Les vacances dans un pays lointain n’y changent rien car, même au milieu d’un désert, le téléphone portable satellitaire ou le smartphone assure le rayonnement. Sous l’eau, dans l’air ou dans un igloo, les ondes relient à la famille, aux médias et au monde. Et quand on n’en veut pas pour éviter d’en supporter les effets collatéraux, un voisin ou un service aux alentours vous fait profiter de ses équipements à votre insu…
Le malaise des proches des lieux d’émission ou utilisateurs eux-mêmes est tel que fleurissent les stages de relaxation, les cours de biomagnétisme, les formations de massage ayurvédique, les instituts de réflexologie, les soins énergétiques, les leçons de thérapie taoïste, les mouvements et danses tamaloux, country, hip-hop, les sports en tous genres du footing au Qi-Gong, etc., sans parler des randonnées nature et des voyages de rêves.
Tout pour tenter de s’éloigner du piège électromagnétique qui trouble l’état habituel, fait monter la tension, déprime, brise le moral, torture nerfs et boyaux, perturbe les jours et les nuits.
L’esclave avait "l’avantage" de voir ses chaînes en permanence et savait ainsi de quoi il souffrait.
L’utilisateur d’appareils électromagnétiques ignore ce qui lui cause tort, croit même avoir trouvé le produit de sa vie et, quand il a un doute, de nombreux gadgets sont à sa disposition pour réduire les effets (pastilles, colliers, antennes, palets…) avec des succès mitigés et qui ne changent rien aux puissances des installations émettrices !
Le voisin n’ayant aucune information sur les outils et appareils installés derrière son mur, peut même se croire atteint par le mauvais sort ou la malchance quand ce n’est pas par un méchant virus !
La cause étant ignorée, difficile de trouver l’action réparatrice…

La maladie rare perturbe aussi la médecine !

Et la médecine ne sait plus où donner de la tête. Des personnes habituellement en bonne santé découvrent un beau matin une affection curieuse, inhabituelle, et l’analyse de sang, échographie, radio, scanner, voire IRM ne décèlent aucune anomalie. Classées dans les maladies rares, elles sont attribuées à l’air du temps, à un phénomène passager, à une réaction provisoire, à une circonstance inconnue, à une génétique capricieuse. Du malaise vagal au déséquilibre, en passant par l’irritabilité et l’envie de tout laisser tomber, de la grosse fatigue à l’épuisement permanent, de la douleur soudaine à l’humeur peccante, la recherche des raisons possibles d’une telle épidémie est souvent laissée au patient jugé atteint d’un mystère médical.
C’est d’ailleurs une habitude dans ce pays, on préfère les plans cancers, Alzheimer, sida…, plutôt que de rechercher et supprimer les causes qui les produisent. La prétendue prévention n’est souvent qu’une immense entreprise d’analyses en laboratoire où se découvrent les affections orientées alors vers les services médicaux de réparation, mais sans toucher aux causes. L’aide bienvenue fournie aux personnes malades est pourtant incomplète si l’on ne supprime pas les raisons de leur tracas dont quelques éléments commencent à poindre dans le paysage sociétal : pollution généralisée, électromagnétisme à tous âges et en tous lieux, ignorance des praticiens, intérêts financiers…
Le plan grippounette A en est un nouvel exemple alors que la pandémie électromagnétique en cours ne suscite aucune interrogation ministérielle. Elle est même niée alors que l’affaiblissement des gens soumis à ses néfastes effets ouvre la porte à tous les virus possibles.
Aussi, il faut d’urgence cloner le principe de précaution avant que les grenulleux ne l’égarent…

Subir à l’insu de son plein gré ou bien…

Beaucoup n’attendent pas ce jour là pour l’appliquer autour d’eux.
➢ Refuser de vivre près d’une trop puissante antenne-relais ou d’une ligne à haute tension et le demander aux responsables, c’est un bon moyen de vérifier le courage et la volonté des élus ainsi que leur promesse de sécurité.
➢ Tenir loin : portable, téléphone mobile, wifi, ipod, etc., tant que les fabricants n’ont pas trouvé des outils sans risques, mis en place et prouvé les moyens de protection efficace de l’utilisateur, sur les appareils et sur des émetteurs d’autant plus puissants que les appareils sont nombreux.
➢ Si on ne peut faire autrement, pour se protéger au cours du travail sur ordinateur, n’utiliser la Wifi, la borne AirPort ou Bluetooth que pour de très très très courts moments et surtout désactiver et éteindre systématiquement dès la fin d’utilisation car non désactivés, ils continuent à agir (Comment faire !).
➢ Mieux encore, éteindre la box ADSL en fin d’utilisation, ceci évite les maux décrits plus hauts pour l’usager, ses enfants et personnes âgées, ses voisins, animaux compris résidant à quelques mètres, qui en partagent les effets à l’insu de leur plein gré…

Boomerang wifique

En Mars 2011, de bonnes nouvelles parviennent du front électromagnétique qui confirment la stupidité du Grenelle et la débâcle technologique annoncée. Pourtant, ils y avaient cru, ils avaient foncé tête basse et oreilles bouchées, ils ont surtout vu une masse de fric à prendre, le boomerang rayonnant leur est revenu sur la face à la vitesse de la lumière car, le wifi et le wimax, annoncés comme la technologie du futur, n’ont jamais répondu à leurs promesses et sont en train d’être abandonnés malgré les efforts gigantesques de dissimulation et de désinformation par les opérateurs et producteurs.
Ainsi, Bolloré, après avoir lancé des installations par ondes au nom ronflant comme « la dorsale numérique », voit de nombreux départements ou régions français revenir au filaire sans regret : ARTOIS - AUVERGNE - AVEYRON - CREUSE – DRÔME - GIRONDE - OISE - PACA - PAS DE CALAIS - SOMME - VENDEE – VIENNE et ce n’est pas fini.
Les raisons de l’hécatombe wifique : Niveau technique très inférieur à celui du filaire et technologie obsolète à bref délai, coût excessif et injustifié en raison des parcours déjà distribués, rentabilité désastreuse car les abonnés n’ont pas confiance, toxicité sanitaire catastrophique pour les personnes fragiles ou sensibles dès la mise en service.

Pour les antennes-relais restantes et autres installations, il faut donc toujours exiger des puissances moins élevées de la part des opérateurs comme en Autriche, en Italie, en Suisse ou en Russie… Afin de les rendre inoffensives en attendant le réseau optique filaire.

Tout en sachant que cette réduction n’a de sens que si elle s’accompagne d’une innocuité totale des appareils électromagnétiques qui utilisent encore cette technologie et mis entre les mains des utilisateurs à la maison ou au travail sans informations sur leurs conséquences.

Ou bien, on peut attendre qu’après les causeries grenelleuses sur le sauvetage de la planète, les bavards daignent s’occuper de la réalité des gens !

Les coeurs, les foies, les reins, les prostates, les cerveaux, les enfants, la nature, la vie…, ne s’en porteront que mieux, tout comme les abeilles et oiseaux qui pourront continuer à butiner ou chanter gratuitement, signes de reconnaissance et surtout d’amélioration de la pollution électromagnétique…

Voir aussi Barbentane est un village rayonnant et les adeptes du "fanau"


Contacts | Espace privé | Mise à jour le 2 mai 2013 | Plan du site | Haut de Page